J’ai commencé à étudier la peinture au lycée puis j’ai poursuivi à la faculté d’art de Timisoara. En six années d’étude, j’ai pu comprendre ce que j’aimais en art et, en conséquence, trouver mon style. J’ai très vite choisi d’orienter ma pratique autour de la peinture abstraite, de m’intéresser à la composition, au geste, au mouvement, … Je réalisais quelques portraits lorsque cela m’était demandé mais d’après moi, chaque personne peut montrer la réalité avec par exemple une caméra, et sans connaissance de l’art. Aujourd’hui, des logiciels comme Photoshop permettent de réaliser un portrait dessiné à partir d’une photo. Je préfère travailler à partir du ressenti, de sentiments, qui rendent mieux compte de moments, d’un état d’esprit, de l’intime.
Au lycée, je me suis également passionné pour le théâtre que j’ai pratiqué notamment dans un festival où j’avais un rôle métaphorique. Ma peinture est également métaphorique, c’est une combinaison de réalité et d’abstraction.
En première année de faculté, les cours consistaient essentiellement en des études du corps humain. Mes travaux personnels étaient des études portant sur la couleur et la composition sur de grandes toiles.
En seconde année, je commençais à m’impliquer dans des festivals, dans l’organisation d’expositions, … J’ai été la coordinatrice d’un gros festival à Timisoara et je reçu par la suite de plus en plus d’invitation pour organiser des événements. Ces coordinations d’événements artistiques m’intéressent particulièrement. Je suis également présidente d’une association à Timisoara que j’ai crée pour les étudiants là-bas.
Après mes trois années de faculté, j’ai passé mon diplôme qui avait pour titre « Water, Air, Fire, Earth » [Eau, Air, Feu, Terre] qui était la première étape pour moi vers un art plus contemporain. C’était une composition de peintures qui évoquaient par exemple, le feu en moi sur laquelle était suggéré mon autoportrait d’une simple ligne.
Juste après cela, j’étais invité à peindre en extérieur dans le cadre d’un festival. Plutôt que de peindre les alentours sur un chevalet, je plaçais ma toile au sol et peignait en dripping. Je rajoutais sur la peinture un éléphant au marqueur qui interpellait le spectateur en questionnant : « Et toi ? Quelle couleur es-tu ? » Je posais la question aux spectateurs et discutait avec eux de leurs réactions.
Ce travail était ma première performance. Peu de temps après, j’achetais 10 parapluies que je peignais en blanc et plaçais devant le musée d’art de Timisoara en jouant sur les hauteurs des parapluies. Je réalisais ensuite un dripping sur les parapluies.
A la suite de cela, j’expliquais que, pour mon projet de master en peinture, je souhaitais développer cette pratique, m’exprimer par dripping puis dessin au marqueur, en utilisant le parapluie comme un objet symbolique.
En France, comme avant, j’ai fait travail qui parle de la même problématique personnel, mais en général. Questions comme le problème du soul, de identités, de influence de les gens, d’exprimassions libre, de le crier, du silence, parfois politiques etc
Le « Atelier 210 » est un bon exercice pour moi pour apprendre a trouve vite une bon solution pour montrer mon message. Mais je trouve qu’est juste un exercice pour les idées. Plus important je trouve être « post it » ou je réfléchir et faire un bon travail que montre mon façon de a pense.
Pour le premier POST IT j’ai fait un travail pour le thème in/out ou je veux parler de ma façon de peindre c'est une métaphore de ma pratique de la peinture. Je parle aussi (de façon symbolique) de la communication entre artiste et son interlocuteur, du message personnel, du message subjectif (IN) qui "sort" (OUT), et qui devient compréhensible, lorsqu'il "sort". J'ai donné un titre à cette pièce, "journal. à propos de ma peinture"/"diary of my painting". C'est une installation composée d'une peinture en dripping (pratique que j'emploie/ le médium que j'utilise pour m'exprimer depuis 2009), une vieille machine à écrire (que je considère comme étant le symbole de moi-même, et de mon pinceau, de ma peinture) et une longue feuille de papier qui sort par la fenêtre (de mon espace privé (IN) vers le ciel ouvert (OUT)) Ma peinture véhicule un message que tout le monde ne va pas percevoir de la même façon.
Ici, sur le papier, c'est une peinture avec des mots (pas de couleur) et de la "communication".
Une vieille machine à écrire, non mais un ordinateur portable, pour suggérer l'authenticité, la relique en ce qu'elle est mémoire, quelque chose de plus sensible, plus personnel, plus chargé d'histoire...
Je suis cette machine à écrire, peu importe qui écrit avec. C'est mon message. Le papier est long parce que le texte est continu et que le rapport entre ce projet et ma peinture est très fort.
Apres c est l’atelier de SON qui j’aime beaucoup. La je peux créer un installation, la même comme en peinture mais sans image et plus de compression du l’ecute. Je trouve un bon instrument pour montrer mon réflexion et pounner les autre en mon peille.
Apres un temps je a compris que Parapluie ce mon symbole pour dire que je besoin protection, comme toute le monde, cette une demande général pour toute possibilités de être même si ce n'est pas physiquement ou visible et les choses juste métaphorique. Mais aussi si peintre le éléphant qui faire le pluie et alors je parle que nous somme en deux ipostase en même temps.
Je ne tiens pas un seul artiste qui j’aime. Peut être un long liste mai je besoin commencer avec Jackson Pollock. Il est la plus grande influence dans mon travail et ses drippings. Artiste American, Jackson Pollock montre que la technique, la peinture, le dessin est la même chose. Pollock n’utilise pas la penture pour exprimer des concepts et des opinions. Il déverse a colère contre la société qui ne croit pas un forme de peinture libre et spontanée.
La geste de l’artiste américain est de libérer de l’énergie tend a devenir plus important que le travail lui-même. Porte-parole Harald Rosenberg a soutenu que l’acté de peinture des artistes américains libères des valeurs politiques, esthétiques et morales transformer la surface de la étoile en une sorte de « scène ». Depuis les expériences de peinture de Pollock, devenu un spectacle public, le premier artiste occidental qui a choisi d’exprimer un tel spectacle public était le peintre Gorges Mathieu (1957).
Jackson Pollock laisse le chevalet, jongle le sol de toile et laisse couler diverses couleurs directement du pot, puis trace les lignes entrelacées, réalisant une arabesque sans fin. Technique dite du « dripping », est adapte , ne vise pas a peindre ce qu’il voit, mais qu’il sent, la peinture devenue un extraordinaire « sinogramme » de son énergie. Tout est dans le rythme, il suffirait d’un faux pas, et rompre le lien qui permet d’unir physiquement, le peintre et sa peinture.

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